Accueil  > 

Le Palais des Beaux-Arts invite les séries sur ses murs, et fête ça jeudi prochain

Mathilde Dolinger 0 min de lecture
06 avr. 2018,

Partager cet article

Partager cet article

Article
en partenariat

Le ou la client·e commande un article mais n’a pas de droit de regard sur la publication avant parution. C’est nous qui produisons le contenu pour en contrôler la qualité, le ton et l’éthique.

Pour en savoir plus, c'est ici

Article sponsorisé @PalaisDesBeauxArts Photo d'après Antoine Chintreuil, Les vapeurs du soir. ©PBA Imaginez aller au musée lorsque le soleil décline gentiment sur la ville. Vous entrez dans le grand bâtiment, traversez le hall aux lustres démesurés et pénétrez dans l'atrium. Et bim ! Grosse ambiance. DJ set, murder party, buffet, visite nocturne du musée... C'est le 12 avril prochain, c'est réservé aux moins de 30 ans et c'est gratuit.  Chaque année, le musée fait un truc très chouette : il donne les clés des lieux à un invité. Ça s'appelle l'Open Museum, et c'est totalement hors des sentiers battus. Il y a eu Air, Zep (le papa de Titeuf), il y a eu Donald Duck (oui oui), et l'an passé, le chef Alain Passard. Cette année, ce sont les séries qui s'invitent dans les salles du palais (rapport au fait que Séries Mania débarque tout bientôt...). Et ça a en fait beaucoup de sens. Bah oui. Vous croyez que les scénaristes de Rome, de Sex and the City ou encore de Versailles sont allés chercher leur inspiration où ? Dans les beaux-arts bien sûr. Dans les peintures, les sculptures, chez les artistes qui ont témoigné d'une époque, qui ont immortalisé les us et coutumes, ont parlé de la manière dont on vivait à ce moment-là. "Dans la Servante Ecarlate, on sent clairement l'inspiration des peintres hollandais", commente Régis Cotentin, programmateur au Palais des Beaux-Arts. On parle de l'esthétique ultra travaillée d'Hannibal ? Des milliers de références à l'art qui jalonnent les 29 saisons des Simpsons ? Voilà, c'était plus que logique. L'Open Museum ne sera accessible au public qu'à compter du 14 avril, mais pour les moins de trente ans, ce sera deux jours plus tôt, avec cette nuit organisée par le Conseil Lillois de la Jeunesse (CLJ). Dans l'atrium, dès 19 heures, les DJs de Supagroovalistic assureront l'ambiance. "Ils ont préparé un set sur le thème des génériques de séries", annonce Valentine Dodin, du CLJ. Vous pourrez grignoter un bout, aussi, et vous immortaliser dans le photobooth installé pour l'occasion. Dans les étages du musée, vous pourrez déambuler tout en assistant à la murder party (complète) qui verra Sherlock et les équipes participantes enquêter sur le meurtre de Dr House. Et donc découvrir en avant-première les installations de l'Open Museum. "Nous allons installer des écrans qui diffuseront les extraits de séries à côté des tableaux qui les ont inspirés", détaille Régis Cotentin. Rome, Sex and the City, Twin Peaks, Mad Men, Medici, The 100... Toutes ces séries vont trouver leur place sur les murs du musée. De cette soirée, si tout va bien, vous devriez sortir avec deux certitudes : les séries sont une nouvelle (belle) forme d'art, et le musée n'est pas un beau palais aux oeuvres endormies. C'est un réservoir de culture. Rendez-vous donc le 12 avril à partir de 19 heures au Palais des Beaux-Arts. L'entrée est gratuite. Et pour l'Open Museum, c'est à compter du 14 avril au même endroit. Vous avez deux secondes : l'installation prend fin le 16 juillet.  Plus d'infos sur le site du Palais des Beaux-Arts. Article sponsorisé @PalaisDesBeauxArts
Vozer Vozer

article écrit
par Mathilde Dolinger

Vozer Vozer

À la une de Vozer

Menu
La vie quot'

Chiant mais important

Transports

Staïle

Voyage voyage

Faits divers

Dans la rue

Bouffe & Godet(s)

Brasseries

Bars

Foodporn

Culturons-nous

Plein les yeux

Street Art

Flashback

Geek

On sort ?

Night Night

Festival

Braderie

WTF

Vert et Solidaire

Solidarité

C'est green

Sueur

Jeux Olympiques

et aussi

Comment ça marche, Vozer ?

La carte ultime de Lille

Qui sommes-t-on ?

Faire de la pub avec nous

Ça mérite un sujet Vozer

Faire un stage chez nous

"Flashback" : le livre

Contact