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À Esupcom, les étudiants sont acteurs de leur formation

Mathilde Dolinger 2 min de lecture
22 jan. 2024, Chiant mais important

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📅 Portes ouvertes le 27 janvier de 14h à 18h

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Sur le campus Eductive Lillenium, Esupcom forme des futur·es communicant·es pendant 5 ans. Cinq années au cours desquelles les étudiant·es sont plongé·es plus vrai que nature dans ce qui les attend dans le monde pro’. Challenge, séminaires, nuit de la crise, alternance dès la deuxième année… voilà ce qui est prévu pour celles et ceux qui voudraient rejoindre l’école. Elle ouvre ses portes ce samedi 27 janvier de 14h à 18h.
Dans la famille des campus Eductive, je demande celui de Lillenium. Et plus particulièrement Esupcom. L’école de communication située à côté du Jardin des Plantes à Lille accueille des étudiant·es de bac à bac +5. “Les élèves intègrent un bachelor, une première année de tronc commun en initiale et dès la deuxième année, place à l’alternance”, présente Hélène D'Alfonso, la responsable com'. Quoi de mieux pour se former que d’être plongé dans le grand bain le plus tôt possible ? 

C’est la philosophie d’Esupcom qui se répercute également la troisième année et lors des deux ans de mastère avec des spé’ comme com’ des marques et des entreprises, com’ digitale et publicité et pour finir com’ événementielle. Et quand les étudiant·es ne sont pas en entreprise, iels sont en cours avec des intervenant·es professionnel·les. Une méthodologie qui fait ses preuves : le taux d'insertion pro', 6 mois après la fin des études, est de 82% et de 95% à un an.

La Nuit de la crise, 24h sous pression


Et même en cours, les élèves sont stimulé·es, en particulier lors de la Nuit de la crise. Le concept ? Une mise en situation de crise. Les élèves, réparti·es par groupe de 5, se voient attribuer un rôle qu’iels devront tenir à partir de 12h et jusqu’à 12h le lendemain. Le but de l’expérience ? Réfléchir à une solution pour atténuer une situation de crise en entreprise, et faire part de leurs conclusions durant une fausse conférence de presse. Vous l’aurez compris, pendant 24h les étudiant·es ne dorment pas pour gérer ce qu’iels pourraient un jour vivre au bureau.

En décembre dernier, les étudiant·es ont dû gérer l’effondrement de l’extension du hall de l’aéroport de Brion (ville et event fictifs). “Heureusement ce n’est qu’une fois par an”, rigole Justine, en 4ème année, qui en garde un bon souvenir. “On travaille sous pression mais au final on trouve ça plutôt marrant à faire car tout le monde joue le jeu.”
Lors de la Nuit de la crise, les élèves utilisent les studios de l'école.
Lors de la Nuit de la crise, les élèves utilisent les studios de l'école.

Un campus, sept écoles

Les élèves à l'ISFJ sont aussi mis·es à contribution lors de la conf' de presse, étape ultime de ces 24 heures. "L'objectif c'est de mettre en pratique les compétences d'un maximum d'étudiant·es", commente Hélène D'Alfonso. C'est l'avantage d'avoir sept écoles qui cohabitent sur le campus de Lillenium.

Si vous voulez en savoir plus sur l'école et sa méthode pédagogique, on vous conseille de vous rendre à ses journées portes ouvertes. La prochaine a lieu ce samedi 27 janvier de 14 à 18 heures. Et si vous n'êtes pas dispo, il y en a une autre organisée le 3 février, aux mêmes horaires. Les inscriptions sont fortement recommandées pour y participer. 
Vozer Vozer

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article écrit
par Mathilde Dolinger

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