Qui n’a jamais rêvé de lancer sa marque et d’ouvrir sa propre société ? Louis Hallard l’a fait et il n’a pas attendu 30 ans pour passer à l’action. C’est en rentrant d’un voyage en Suède, alors qu’il n’a encore que 17 ans, qu’il lance sa société aux côtés de deux amis. Very Bad Coque est né. Ça, c’était en 2014, aujourd’hui les choses ont bien changés. Quoi que…
Jeune et entrepreneur : deux mots contradictoires pour certains mais pas pour Louis Hallard.
Âgé de 21 ans, il a fondé la marque Very Bad Coque alors qu’il n’était encore que lycéen. Pour l’anecdote, il s’est toujours rêvé businessman puisqu’il confie avoir vendu des bonbons au collège dans la cour de récré. Il fallait bien commencer quelque part…
Aujourd’hui, il est étudiant en troisième année de gestion à la Catho où il combine cours et entrepreneuriat. Un rythme effréné dont il ne se plaint pas : «
Je m’éclate dans ce que je fais, c’est le plus important. »
Également à la tête de Yello Koko qu’il a racheté dernièrement et de la société Lunar Import à qui il a donné naissance en mars 2017, Louis Hallard confirme que le travail commence à payer. «
Nous sommes présents dans 110 points de ventes, je commence à pouvoir prendre des stagiaires rémunérés, j’espère pouvoir construire une équipe petit à petit, explique-t-il. C
’est un véritable projet sur 10 ans. »
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Louis Hallard, fondateur de la marque de coques trop badass Very Bad Coques.[/caption]
Very Bad Coque, c’est quoi concrètement ?
Des coques de téléphone en bois de hêtre et/ou de cerisier, du marbre et même du ciment. Des produits qualitatifs donc, et originaux. Mais niveau originalité, Yello Koko frappe plus fort avec des clés USB et batteries externes complètement décalés, prenant la forme d’une licorne ou d’un bouchon de bouteille de vin.
Pour les retardataires dans leurs cadeaux de noël, VBD et Yello Koko seront présents au Carlton ce week-end pour un marché de noël intérieur. Sinon rendez-vous au Furet du Nord, à L’Odyssée by Ullys ou encore chez Culture Denim, à Lille. Les marques ne sont plus commercialisées sur internet pour faire travailler les commerces IRL.