À Roubaix, ARTFX, l'école d'animation et d'effets spéciaux, recrute sa prochaine promotion
Mathilde Dolinger,
3 min de lecture
19 déc. 2020,
Mathilde Dolinger,
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19 déc. 2020,
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Travailler sur les effets spéciaux de Gravity, bosser sur la dernière version du Roi Lion, participer à la post-prod de Star Wars... C'est le quotidien d'ancien.ne.s étudiant.e.s d'ARTFX, la grande école d'effets spéciaux et d'arts digitaux. Basée à Montpellier depuis 2004, elle vient d'ouvrir un campus à Roubaix.
Il y a pire, comme endroit, pour faire ses études : installée à la Plaine Images, la version Nordiste d'ARTFX a pour voisins Ankama, des studios d'animation et une flopée d'entreprises de création digitale. "On est effectivement dans un écosystème vraiment très porteur", confirme Hugo Bonnaffé, responsable com' de l'école roubaisienne. Son arrivée en septembre est une bonne nouvelle pour le secteur : "Nous sommes classés parmi les 10 meilleures écoles au monde par The Rookies, qui fait foi dans le domaine."
Née en 2004 à Montpellier, l'école y forme 500 étudiant.e.s aux métiers de l'animation et du cinéma. A Roubaix, ils sont un peu moins de 90 à recevoir les enseignements d'intervenants professionnels. "On a cinq formations, sur cinq ans : animation 2D, animation de personnages 3D, 3D & effets spéciaux (VFX), jeux vidéo et programmation. Et on va accueillir un nouveau master cinéma en 2021, pour apprendre la prise de vue réelle et la création d'images de synthèse." Ce cursus, unique au monde, proposera aux étudiant.e.s de se former aux nouvelles technologies cinématographiques très demandées par les studios.
Si vous avez peur de choisir un métier de niche sans débouché, on a envie de vous détromper tout de suite : "On a un taux d'insertion de 95% en sortie d'études, confirme Hugo. Et 70% de nos étudiant.e.s sont embauché.e.s dans des studios à l'étranger, principalement en Amérique du Nord, en Asie et en Europe, où sont les plus gros studios." D'ailleurs, les cours (basés sur la pédagogie inversée : la théorie en autonomie chez soi, la pratique en cours) sont délivrés en français et en anglais pour s'assurer que les futurs pros pourront s'intégrer plus vite dans des équipes internationales.
"Les étudiant.e.s ont un tronc commun en première année", détaille Hugo. Dessin, sculpture, théâtre... L'idée est de donner des bases solides pour la suite. "Puis ils se spécialisent de plus en plus sur les deuxième, troisième et quatrième années." La dernière année consiste essentiellement à réaliser son projet de fin d'étude - film ou jeu vidéo - et à le présenter en compétition.
Il est déjà possible de passer le concours d'entrée pour octobre 2021. Chaque mois, l'école propose une session en ligne puis en physique où les étudiant.e.s sont testé.e.s sur leur culture G et leur créativité. Ils doivent présenter leur portfolio à un jury réuni pour l'occasion. "C'est clair qu'il faut avoir un certain goût pour la discipline artistique", confirme Hugo. Si vous avez pris option arts plastiques au bac, ce sera clairement un plus.
Pour vous renseigner sur l'école et vous inscrire à la prochaine session du concours, on vous invite à vous rendre sur ce site hyperlinké avec amour. Et si vous voulez visiter l'école, vous pouvez le faire virtuellement là, ou attendre le 23 janvier : une journée portes ouvertes sera organisée, avec visite et conférence de présentation.
Article sponsorisé @ArtFX
article écrit
par Mathilde Dolinger