"Au moins, le message aux opérateurs est passé : on ne débarque pas à Lille comme des cow-boys", appuie Jacques Richir, adjoint à la mobilité et à l'espace public. Ce dernier confie que, même après cette délibération, différentes sociétés sont régulièrement venues toquer à la porte de la mairie pour la démarcher. "Ce qui est normal, on est une ville jeune et urbaine." Mais aucune n'a donc encore réussi à s'implanter. "On n'est pas contre ce nouveau mode déplacement mais il va nous falloir de sacrées garanties et un dossier très solide", ajoute l'adjoint au maire.