Et c'est ce qui arrive cette semaine. Dans son communiqué, Atmo précise que "les températures fraîches dans la nuit du 21 mars jusqu'au matin du 22 mars ont favorisé l'émission de particules liée à l'utilisation du chauffage". Et quand vous combinez ça avec une journée, certes ensoleillée, mais avec des vents faibles et une inversion thermique au cours de la nuit, vous obtenez de mauvaises conditions de dispersion des microparticules et donc leur accumulation. Ces conditions perdurent tout comme l'épisode pollution : l'observatoire indique que "les niveaux de particules devraient rester similaires sur la journée du 24 mars".