En parallèle, les étudiant·es sont formé·es à tout un tas de matières qui les aideront à booster leur créativité, connaître le B.A.-BA de la pâtisserie mais aussi apprendre à gérer leurs stocks, leurs comptes et leur entreprise s'iels veulent en créer une un jour. "Il y a des cours de culture professionnelle, de gestion d'entreprise, de mathématiques en entreprise, d'anglais, de sciences appliquées et d'arts appliqués", liste le formateur.
En plus des cours dispensés à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat, les étudiant·es peuvent aussi faire une alternance ou des stages. De quoi se former encore plus tout en mettant les pieds dans les cuisines qui les attendent après leur diplôme. "Ils peuvent travailler en restaurant mais aussi dans des salons de thé ou chez des traiteurs en tant que pâtissier, ajoute Nicolas. L'objectif de cette mention complémentaire, c'est vraiment qu'ils acquièrent des compétences en plus et qu'ils élargissent leurs possibilités."
Pré-requis et inscription
Si vous voulez vous lancer dans cette mention complémentaire, il y a une condition à respecter :
être titulaire d'un CAP cuisine (qu'il est aussi possible de faire à la CMA). Si c'est bon pour vous, il n'y a plus qu'à vous inscrire en vous rendant sur le site et en remplissant
le formulaire de contact. Le centre de formation vous rappellera pour un entretien et si ça matche, vous pourrez commencer à faire de bons desserts.