Ce samedi 9 novembre il sera possible de plonger dans les coulisses du journalisme et d’échanger avec des pros de l’écriture et des médias. L’ESJ (École Supérieure de Journalisme) de Lille organise son tout premier salon du livre, baptisé le Journalivre, et vous invite à découvrir plusieurs univers du journalisme, du genre la presse écrite et les reportages longs, mais aussi les fictions.
Pour cette première édition, l’école de journalisme centenaire frappe fort avec une journée rythmée de tables rondes qui auront lieu dans l'amphithéâtre, les voici :
- 10h15 - 11h30 : le thème sera "Quand le journalisme prend le temps", pour explorer les reportages longs et comprendre comment raconter en profondeur.
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13h15-14h : vous en saurez plus sur le Prix Albert-Londres, qui récompense chaque année les meilleur·es grand·es reporter·rices francophones.
- 14h - 15h : "Pourquoi les journalistes écrivent-ils de la fiction ?", une plongée dans les raisons qui poussent certain·es journalistes à aller au-delà du réel.
- 15h15 - 16h15 : "À qui appartiennent les histoires ?", réflexion sur les droits, les sources et l’appropriation des textes.
- 16h30 - 17h30 : "Crimes, justice et journalisme", pour aborder les liens entre enquêtes et faits divers, et comprendre pourquoi ça intéresse tant les journalistes ainsi que les lecteur·rices.
En partenariat avec la Chouette librairie et les Lisières, ça sera aussi le lancement de Cent ans de journalisme à travers l’histoire de l’ESJ Lille, un livre édité par Flammarion qui revient sur un siècle d’articles, de photos et de reportages marquants en France. Vous pourrez donc vous le procurer sur place.
Un maximum d'échanges avec des pros
Des espaces de dédicaces et de discussion avec les auteur·trices seront également mis en place dans les deux halls de l'école. On vous laisse aller sur le site de l'ESJ pour découvrir l'ensemble des pros qui seront présent·es. L’entrée est libre, mais l’inscription est fortement conseillée : vous pouvez réserver votre place en ligne dès maintenant via ce formulaire. Alors, prêt·es à découvrir le journalisme sous un autre angle ?
