La Catho à Lille : focus sur les masters de la FLSH

Ambiance cosy, effluves de café et discussions animées... bienvenue au "FLSH Coffee", un rendez-vous éphémère où les étudiant·es de licence de la Catho peuvent poser toutes leurs questions à celles et ceux en master au sein de la FLSH. L'idée ? Échanger sans filtre sur les formations proposées, découvrir le quotidien des masters et avoir un vrai retour d'expérience.

Comme l'équipe de la Catho est sympa avec Vozer, elle nous a laissé participer au dernier pour pouvoir vous partager, nous aussi, leurs avis. Histoire de vous tenir au courant si vous vous intéressez de près aux masters proposés par l'Université. 

Un large panel de masters

Parce que les masters à la FLSH, ce n'est pas ce qui manque. La faculté compte plus d'une quinzaine de diplômes dans divers domaines. Pour vous faire une idée, nous on a pu échanger avec des étudiant·es issu·es des masters Histoire publique et numérique, Management de la culture et Communication numérique. Mais il y a aussi les masters en : 

• Psychologie : clinique ; sociale et du travail ; neuropsychologie et de la santé
• Relations internationales & marketing : double master affaires internationales trilingues marketing ; relations internationales ; master affaires internationales trilingues communication / marketing / tourisme / mode
• Lettres : lettres et éditions numériques ; LLCE anglais
• Culture : management de la culture ; patrimoines, musées et numériques
• Communication : com' d'influence ; numérique
• Journalisme
• MEEF

Vous trouverez toutes les infos relatives aux différents masters sur le site de la FLSH. "Les étudiants déjà en licence au sein de la FLSH peuvent facilement trouver un master correspondant à leurs objectifs pros dans la même faculté", assure Léandre, en master Histoire publique et numérique, qui a lui-même appliqué ce principe. Mais les autres aussi, rassurez-vous.

De nombreux atouts 

Si les masters de la FLSH plaisent, c'est parce qu'ils ouvrent de vraies portes vers le marché du travail. Entre les stages, les missions confiées aux étudiant·es et les nombreux contacts avec des pros, tout est fait pour booster l'insertion. "En première année on a un stage de minimum 3 mois à faire et en deuxième année on est en alternance avec un rythme de trois semaines en entreprise, une semaine à l'école donc ça permet de préparer le terrain, de la sortie d'école vers le monde du travail", explique Auriane, en master Communication numérique.

Et ce rapprochement avec le monde pro' se retrouve dans les masters, peu importe leurs spécificités. "En Management de la culture, on a beaucoup d'intervenants professionnels, comme des directeurs de boîtes de prod', des pros qui travaillent sur Paris et nous partagent leurs expériences dans la musique, la réalisation ou la photo...", raconte Thibaut en M1 Management de la culture. "On a des spécialistes SO, SOA, html, ce qui nous permet de voir tous les nouveaux métiers du numérique", surenchérit Sarah, en master Communication numérique.

"On ne se contente pas de suivre des cours, on bosse sur des projets réels", raconte une étudiante en master Patrimoines, musées et numérique. Son master mise sur la pédagogie par projet : création d’outils numériques pour des musées, collaborations avec des institutions culturelles… "On travaille sur des missions concrètes, on se sent utile", ajoute-t-elle.

Bientôt une JPO

Envie d'en savoir plus ? Bloquez votre agenda pour la journée portes ouvertes de la FLSH le samedi 8 mars, de 9h à 17h. L’occasion parfaite pour découvrir les locaux, rencontrer les étudiant·es de tous les masters et poser toutes vos questions.

Et pour celles et ceux qui veulent postuler, le dépôt des candidatures ouvre demain, mardi 25 février, sur la plateforme Mon Master, et ce jusqu'au 24 mars 2025. Alors, à quel master allez-vous envoyer votre dossier ?