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Pour la troisième fois, le 16 mars, les halls de la filature de Saint-André vont se draper de beau son qui fait battre fort le cœur des mélomanes. On a regardé un peu le programme, et on a réalisé que douze groupes ou artistes solo monteront sur scène pour vous en mettre plein les oreilles. On a eu envie de vous présenter ces bonnes raisons, du coup.
Il est de Chicago, il est DJ spécialiste en house, et il a explosé de manière mondiale en 1989 avec le titre "French Kiss". Un briscard de la musique électronique à qui on ne la fait pas, mais qui est d'une grande générosité auditive.
Quand elle n'est pas trop occupée à faire des Boiler Rooms, The Black Madonna vit à Londres où elle officie régulièrement au club Xoio et parfois sur la BBC, où elle présente une house ultra contemporaine et d'une propreté impeccable.
La disco est toujours d'actualité, et le DJ Purple Disco Machine le prouve à chaque set. Le bonhomme a roulé sa bosse un peu partout dans le monde depuis 1998. On peut même vous dire qu'il manie le funk sans difficulté.
On a vraiment besoin de vous le présenter ? En vrai, il s'appelle Pierre-Alexandre, et il a fait le conservatoire. Ce qui explique la précision avec laquelle il manie les platines. Mais si, vous le connaissez :
Un autre français, un autre gros nom. Lui, c'est Antonin, et il a le rare pouvoir de retourner le cerveau avec une techno bien léchée. C'est frais et ça fait plaisir.
Alors Sama, c'est une DJ palestinienne, habituée des Boielr Rooms aussi, qui en jette. Elle a commencé à mixer à Ramallah avant de s'envoler pour l'Angleterre, puis l'Egypte. Aujourd'hui, elle vit à Paris et fait profiter les Français de sa belle techno.
C'est un DJ qui a inventé le principe de douce house. Il est délicat, sensuel, et il s'est fait remarquer par les grands labels de ce monde.
Les membres de ce duo puisent leur inspiration dans les sons du monde qu'ils traversent de long en large et en travers. Le rendu fait voyager, et c'est délicieux.
Il est Rennais, il est aussi graphiste, et il aime le groove. Ses créations musicales sont toutes empreintes de ces influences, et on a envie de dire que ses sets sont joliment poétiques.
Il fallait bien un producteur lillois, dans tout ça, tout de même. Et la prod a fait le choix de proposer à Azur, DJ de talent, de tenir ce titre. Et c'est un bon choix.
C'est un collectif comme on en fait peu. Les artistes qui le représentent sont parfaitement barrés, mais dans le bon sens du terme. Ils sont particulièrement connus pour leurs soirées incongrues et déjantées, toujours bercées de beau son. On vous a dit que Jabberwocky en était membre ?
On parle souvent d'eux, chez Vozer. Parce qu'ils sont du coin, et parce qu'ils sont quand même vachement forts pour injecter des sons goovy et funky là où ça fait du bien.
Voilà, c'est beau, hein ? Pour la billetterie, ça se passe sur ce site. Comptez 23 euros en early bird, 26 euros avec la navette. Si vous voulez vous sentir VIP, il faudra sortir 55 euros. On suit Les Nuits de la Filatures sur Facebook, mais seulement si on veut.
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article écrit
par Mathilde Dolinger