Accueil La vie quot' Dans la rue
Dites bonjour à Romy, la nouvelle statue du parvis de la gare
Justine Pluchard,
1 min de lecture
14 sept. 2019,
Dans la rue
Accueil La vie quot' Dans la rue
Justine Pluchard,
1 min de lecture
14 sept. 2019,
Dans la rue
La ville avait teasé son arrivée depuis des mois : une nouvelle statue, créée par l'artiste Xavier Veilhan, a pris place devant la Gare Lille-Flandres ce samedi. Elle s'appelle Romy, pèse 500 kilos, et mesure 3 mètres.
Qui sait ? Peut-être que d'ici quelques années, dire "Rendez-vous devant Romy" sera une phrase courante à Lille. On n'en est pas encore là mais la nouvelle œuvre commandée par la ville pour remplacer la fontaine du parvis de la gare a clairement cette ambition.
C’est un genre de rituel. Quand un quartier, une place, un lieu dans la ville se transforme, une œuvre d’art suit. Pour celle de la gare, c'est donc Xavier Veilhan, lyonnais d’origine, mondialement connu pour ses sculptures proches de l’origami, qui a été choisi. Sa mission : imaginer "le symbole contemporain de la ville" comme l'avait évoqué Martine Aubry en février dernier.
Ce symbole est donc une femme. Un buste de femme pour être tout à fait précis. Plus que la ville, Romy est censée incarner "la voyageuse d'aujourd'hui" qui accueille ceux qui arrivent à Lille par la gare. Pour la petite anecdote, l'artiste s'est inspiré d'une personne de son entourage pour modeler sa statue couleur "jaune melon" ou "orange pop" selon les descriptions.
NB : On ne connaît pas le prix de Romy. On sait juste qu'elle a pour mécène Vinci Immobilier.
À lire aussi, c’est tout frais !
Ce samedi, #NousToutes Lille organise une manifestation contre les violences sexistes et sexuelles
Aurore Garot,
2 min de lecture
20 nov. 2024
Dans la rue
Urban Trail à Lille : attention, la circulation et le stationnement vont être impactés ce samedi
Aurore Garot,
3 min de lecture
12 nov. 2024
Dans la rue
Sueur
Immeubles effondrés à Lille : où en est-on 2 ans après ?
Lola Pierkot,
4 min de lecture
08 nov. 2024
Faits divers
Dans la rue
article écrit
par Justine Pluchard