Accueil La vie quot' Dans la rue
Il n'y aura pas de soirées tango à la Vieille-Bourse cet été
Justine Pluchard,
1 min de lecture
02 juin 2020,
Dans la rue
Accueil La vie quot' Dans la rue
Justine Pluchard,
1 min de lecture
02 juin 2020,
Dans la rue
C'est le rendez-vous muy caliente des Lillois qui restent en ville chaque dimanche d'été. Mais un tango sans contact entre les partenaires perdrait de son charme, surtout avec une jauge de spectateurs ultra réduite....
Alors oui, on a retrouvé pas mal de nos libertés, oui la Vieille-Bourse à rouvert ses portes mais vous imaginez bien que des cours de tango où on danse à 1 mètre de son ou sa partenaire masqué, ça devient tout de suite plus compliqué que de boire un godet en terrasse.
Des corps qui se rapprochent et qui tournoient doucement dans la cour de la Vieille-Bourse au rythme de la milonga, dites-vous que c'est une tradition qui a plus de vingt piges. Mais les trois assos de danse qui s'occupent de l'organisation de la douzaine de soirées tango ont annoncé que ces dernières ne pourraient pas se tenir cet été.
Le tango est une danse qui prend son temps et qui déteste qu'on la brusque de toute façon. Pour ne pas rompre ce charme, les assos lilloises (Tango?Tango!, Le HuitRenversé & Les sœurs Gomez) ont donc pris cette décision... qui ne les empêchera d'organiser, selon les nouvelles directives qui seront connues fin juin, "des mini-milongas et autres milonguinettes sauvages" dans la ville pendant la belle saison selon la météo, l'envie et les possibilités.
À lire aussi, c’est tout frais !
Tourcoing réinvente sa gare : resto, hostel, commerces et vibes modernes pour 2026
Lola Pierkot,
1 min de lecture
22 nov. 2024
Dans la rue
Bouffe & Godet(s)
Ce samedi, #NousToutes Lille organise une manifestation contre les violences sexistes et sexuelles
Aurore Garot,
2 min de lecture
20 nov. 2024
Dans la rue
Urban Trail à Lille : attention, la circulation et le stationnement vont être impactés ce samedi
Aurore Garot,
3 min de lecture
12 nov. 2024
Dans la rue
Sueur
article écrit
par Justine Pluchard